Drôles et souvent désespérés, [ces textes] brossent, souvent à rebrousse-poil, le portrait d’une époque prise dans une impasse. Un distingué musicologue pensant qu’il faut prendre de l’héroïne pour comprendre le jazz, une vache heureuse d’avoir brouté du chanvre, un magasin de jouets vendant une poupée scandaleuse, un magazine prêt à tout pour augmenter ses ventes, tels sont quelques-uns des arguments de cette série d’histoires légères et planantes qui font prendre l’air. Et les airs.
Stéphane Hoffmann, LE FIGARO MAGAZINE