Peter Farris signe un polar qui vous dévoile un étonnant duo dans le Sud des États-Unis : Maya et Léonard, unis contre un horrible personnage. Le Diable en personne, de Peter Farris, est sorti au cœur de l’été dernier chez Gallmeister, mais il n’est jamais trop tard pour bien lire.
Bernard Poirette, RTL
Du côté de Steinbeck dans sa façon d'associer la misère et la beauté du monde, du côté de Lehane quand il s'agit de raconter les âmes.
Julie Malaure, LE POINT
Trépidant, un peu sale, qui se lit hyper rapidement parce qu’on a envie de connaître la suite. Et puis on s’attache à ces personnages complètement dingues.
Marie Bronzini, FRANCE BLEU
Peter Farris, avec son écriture percutante, la fougue de cette jeune génération d’auteurs nourris au sein de la pop culture et de la crise économique, a bien trouvé sa place dans le paysage actuel du roman noir.
Yan Lespoux, MARIANNE
Ici, l’environnement fait partie de l’intrigue, et Peter Farris nous propose un aller simple pour la Géorgie du Sud.
Pascale Frey, ELLE
Dès la première page [...], Peter Farris donne le ton à un lancinant polar, taraudé par une aveuglante violence et émaillé d'hallucinantes visions, pour pousser Jim Thompson, Larry Brown et les autres dans le brasier d'un "southern noir" radical, réglé sur un infernal tempo. Du Hank Williams Jr., version hardcore.
Philippe Blanchet, ROLLING STONE
Michel Dufranne, RTBF - LivrÉs à domicile
Le Diable en Personne est un régal du genre "noir".
Karen Lajon, LE JOURNAL DU DIMANCHE
Un polar haletant, qui pointe aussi les dérives d'une société américaine dominée par les rapports de force et la violence.
Laurence Houot, FRANCE INFO
Un très bon polar, noir et singulier.
VOICI
Un thriller violent et intense, où les démons se régalent des faiblesses humaines, jusqu'à l'épilogue où perce une lueur d'espoir. Ouf !
L'ALSACE
C'est une belle amitié qui fait tout le sel de ce roman, plein d'humanité mais nourri de la violence liée aux petits trafics et aux grandes magouilles.
OUEST FRANCE
C'est à une sombre mais captivante histoire de rédemption que nous convie Peter Farris avec cette traque à mort tragique sur fond de corruption massive.
Jean-Paul Guéry, LE COURRIER DE L'OUEST
Formidable roman noir que vous allez dévorer, avec des bons et des méchants comme savent l'écrire à la perfection les auteurs américains...
VIVRE À PARIS
Très vite on se retrouve envoûté par ce "Diable", sauvage mais jouissif.
Olivier Bureau, LE PARISIEN
Peter Farris livre le passionnant portrait d'une Amérique désincarnée, corrompue et violente, dans laquelle tout est à vendre.
MONACO HEBDO
Une plume puissante est née.
Anne Lessard, LE TÉLÉGRAMME
Noir et sec, à l'image de Léonard, Le Diable en personne est un récit âpre aux relents violents. Les lieux sont bien rendus grâce à la plume de Peter Farris qui réussit à plonger les lecteurs sur les terres si particulières de Leonard, personnage extrêmement bien construit, qui donne tout le sel au roman.
Christophe Dupuis, SANG FROID
C'est à une sombre mais captivante histoire de rédemption que nous convie Peter Farris avec cette traque à mort tragique sur fond de corruption massive.
LA TÊTE EN NOIR
Dernier appel pour les vivants et Le Diable en personne ne sont pas seulement efficaces, ce sont des récits d'une force terrible, extrêmement documentés. [...] Il y a du sang (beaucoup), de l'humour (noir, ça va sans dire), des larmes (les nôtres).
Marianne Peyronnet, NEW NOISE
Un roman qui fera partie du «top ten» de tous ceux qui s’y plongeront.
BOOK REPORTER
Peter Farris a une écriture fluide et rythmée, un style brut qui donne toute sa saveur aux dialogues doublé d’un don réel pour décrire forêts sauvages, marais et grottes. Un portrait au vitriol de l’Amérique d’aujourd’hui où le sang coule à flot, les cadavres s’accumulent, les alligators se régalent et nous aussi !
Sylvain Chardon, L'ANTICAPITALISTE